On est déjà demain, alors je prends un peu d'avance.
Michel Bühler est un Helvète qui serait capable de ne pas avoir de compte en Suisse.
Il est venu chanter à Saint-Claude pour un concert organisé par la section locale d'Amnesty International, aux débuts des années 80. Je n'y étais pas. Mais on avait les 33 tours à la maison. Instituteur qui a pris la guitare en 1969, il prend part à des actions de solidarité et de défense des opprimés (il chante encore pour Amnesty International le 17 janvier prochain au Café du Soleil de Seignelégier, dans le Canton des Franches-Montagnes, en Suisse).
Il chante le quotidien, l'espoir ("Prenons le temps de nous aimer"), le monde ouvrier ("Mon père" (ci-dessous), "François"), le monde paysan ("Le pequenot"), le racisme ordinaire ("Djamel", "Les immigrés"), l'antimilitarisme ("Messieurs les militaires", "Le soldat"), les alpages et la vie rurale, la famille ("Simple histoire"), le conflit israélo-palestinien, les camps de réfugiés ("Chanson nécéssaire"), la mondialisation...
La bise.
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