A défaut de faire un "Calendrier de Lavans de Jean Ferrat", j'en ai choisi une, qui au lycée, m'a conduit à me plonger dans un épisode de l'histoire de France où l'on croise des personnages tels que Louise Michel, Jules Vallès, Gustave Courbet, Eugène Potier, l'auteur de l'Internationale, Jean-Baptiste Clément, l'auteur du Temps des Cerises... Et à me forger des convictions républicaines.
La Commune, c'était le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple : une démocratie directe reposant sur une citoyenneté active.
C'était le commencement de l'émancipation des femmes, la reconnaissance de l'union libre...
C'était une école gratuite, laïque, et ouverte aux filles, dix ans avant Jules Ferry.
C'était aussi la citoyenneté ouverte aux étrangers, "considérant que le drapeau de la commune est celui de la République universelle"...
C'était "un espoir mis en chantier"... Si vous passez au cimetière du Père Lachaise, allez voir le Mur des fédérés en pensant à cette chanson...
La bise
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