Avec un père qui a gardé de son passage à l'armée un rejet de l'uniforme, de solides amitiés anti-militaristes et des anecdotes à foison, la chanson de Maxime Le Forestier était un des hymnes de l'appartement 77, au 6e étage du numéro 20 de la cité du Tomachon, à Saint-Claude (Jura).
La chute serait peut être à revoir... Il se pourrait que, finalement, le personnage central de cette ballade soit devenu gendarme mobile à Sivens (Tarn).
La bise.
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