Une chanson engagée se chante avec conviction.
Une chanson engagée peut aussi avoir été chantée à des moments historiques. Si son interprète a connu quelques désagréments pour l'avoir chantée, elle prend encore plus de force.
Petite illustration (qui marche seulement pour ceux qui ne parlent pas le grec) avec "Imaste Dyo" (ou "Eimaste Dyo") de Mikis Theodorakis, chantée à Berlin (1987)
Une chanson engagée peut aussi avoir été chantée à des moments historiques. Si son interprète a connu quelques désagréments pour l'avoir chantée, elle prend encore plus de force.
Petite illustration (qui marche seulement pour ceux qui ne parlent pas le grec) avec "Imaste Dyo" (ou "Eimaste Dyo") de Mikis Theodorakis, chantée à Berlin (1987)
Pour aller plus loin:
Et un concert commun de Mikis Theodorakis et de Maria Farantouri, à la chute des colonels (1974):
La traduction proposée par un autre métèque, Georges Moustaki:
Nous Sommes Deux (Imaste Dyo)
Nous sommes deux nous sommes deux
Huit heures vont bientôt sonner
Éteins la lampe le gardien frappe
Ce soir ils reviendront nous voir
L'un va devant l'un va devant
Et les autres suivent derrière
Puis le silence et puis voici
La même chanson qui revient
L'un va devant l'un va devant
Et les autres suivent derrière
Puis le silence et puis voici
La même chanson qui revient
Ils frappent deux ils frappent trois
Ils frappent mille vingt et trois
Tu as mal toi et j'ai mal moi
Qui de nous deux a le plus mal
C'est l'avenir qui le dira
Nous sommes deux nous sommes trois
Nous sommes mille vingt et trois
Avec le temps avec la pluie
Avec le sang qui a séché
Et la douleur qui vit en nous
Qui nous transperce et qui nous cloue
Nous sommes deux nous sommes trois
Nous sommes mille vingt et trois
Avec le temps avec la pluie
Avec le sang qui a séché
Et la douleur qui vit en nous
Qui nous transperce et qui nous cloue
Notre douleur nous guidera
Nous sommes deux nous sommes trois
Nous sommes mille vingt et trois
Vous avez là une version de Maria Farantouri (1974).
Et un concert commun de Mikis Theodorakis et de Maria Farantouri, à la chute des colonels (1974):
La traduction proposée par un autre métèque, Georges Moustaki:
Nous Sommes Deux (Imaste Dyo)
Nous sommes deux nous sommes deux
Huit heures vont bientôt sonner
Éteins la lampe le gardien frappe
Ce soir ils reviendront nous voir
L'un va devant l'un va devant
Et les autres suivent derrière
Puis le silence et puis voici
La même chanson qui revient
L'un va devant l'un va devant
Et les autres suivent derrière
Puis le silence et puis voici
La même chanson qui revient
Ils frappent deux ils frappent trois
Ils frappent mille vingt et trois
Tu as mal toi et j'ai mal moi
Qui de nous deux a le plus mal
C'est l'avenir qui le dira
Nous sommes deux nous sommes trois
Nous sommes mille vingt et trois
Avec le temps avec la pluie
Avec le sang qui a séché
Et la douleur qui vit en nous
Qui nous transperce et qui nous cloue
Nous sommes deux nous sommes trois
Nous sommes mille vingt et trois
Avec le temps avec la pluie
Avec le sang qui a séché
Et la douleur qui vit en nous
Qui nous transperce et qui nous cloue
Notre douleur nous guidera
Nous sommes deux nous sommes trois
Nous sommes mille vingt et trois
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